Encore une fois, je demande toute votre attention sur la photo qui accompagne ce sujet.
Non, ce n'est pas un texte soulignant le vrai problème que la Russie affronte tous les jours, le fait que les femmes sont super mignonnes et que les gars sont moches comme des poux (c'est un sujet que nous ne manquerons pas de mettre en exergue dans le futur). Non, il s'agit d'une petite brève sur notre série noire de l'affichage à Moscou.
Non, ce n'est pas un texte soulignant le vrai problème que la Russie affronte tous les jours, le fait que les femmes sont super mignonnes et que les gars sont moches comme des poux (c'est un sujet que nous ne manquerons pas de mettre en exergue dans le futur). Non, il s'agit d'une petite brève sur notre série noire de l'affichage à Moscou.
Alors, vous le savez déjà, l'affichage a envahi la ville sous toutes ses formes, transformant la ville en grand déballage publicitaire, où chaque petit espace peut s'acheter. Mais le problème, c'est que les emplacements sont si nombreux que les annonceurs ne sont pas assez actifs pour tous les combler.
Le résultat est donc simple. Au lieu de laisser des panneaux vides, les sociétés d'affichage préférent prolonger les vieilles campagnes de façon indeterminée. Pas de problème pour les marques qui y voient la possibilité d'être visibles plus longtemps mais cela devient ridicule pour les annonces de concerts ou autres évènements ponctuels.
Hier, j'ai pris la photo de cette affiche qui annonce un concert classique... le 20 Mars. Bref, je crois que je l'ai raté. Et ce n'est qu'un exemple sur des centaines.
(Photo: Dirrty Frank, parfois aussi en retard d'un métro)
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